Abyssal - Tiers

J’ai grandi dans la banlieue, loin de la capitale

Papa, Maman font d’leur mieux, pour eux c’est capital

J’ai pas fait d’prison, tant mieux, j’ai jamais pris le temps de

Dire à la mif que sans eux, mon coeur est abyssal

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya

A côté d’ta maman quand tu me localises

Dans mon quartier, y a les meilleurs rappeurs et les meilleurs botanistes,

hey hey hey

Billets violets qui me focalisent (Molo bolo yeah)

J’touche pas la noire, la blanche comme les mains au pianiste, totalise

Avec moi Marianne, elle pousse des vocalises, vocalises

Tu penses qu'à t’amuser, moi je n’pense qu’au khaliss, au khaliss

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’veux faire le tour du monde avec un permis d’cariste

J’resterai dans ma cité si je ne prends aucun risque

J’veux faire le tour du monde avec un permis d’cariste

J’resterai dans ma cité si je ne prends aucun risque, yeah

J’ai grandi dans la banlieue, loin de la capitale

Papa, Maman font d’leur mieux, pour eux c’est capital

J’ai pas fait d’prison, tant mieux, j’ai jamais pris le temps de

Dire à la mif que sans eux, mon coeur est abyssal

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya

J’veux faire le tour du monde avec un permis d’cariste

J’ai besoin d’un beatmaker, j’ai besoin d’un guitariste

Grosse paire de cojones, je n’suis pas Lord Varys

Renoi 2.0 comme ou Farry

Les tarifs, affichés dans le hall, comme si c'était permis

Les ler-dea, revaient p’têtre d’un autre rôle, de méd'cin ou artiste

Mais la vie, nous a ret’nus ici, nous a maint’nu ici

Pas d’souci, on fera notre vie ici, on fera not' thune ici, ouai ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai

J’ai le mort, j’ai le mort, ouai, ouai ouai

J’ai grandi dans la banlieue, loin de la capitale

Papa, Maman font d’leur mieux, pour eux c’est capital

J’ai pas fait d’prison, tant mieux, j’ai jamais pris le temps de

Dire à la mif que sans eux, mon coeur est abyssal

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya

Eya, eya, eya, eya