Kaioken 2 - JAROD

Ouh, extraction 7 du mat je suis dans le fourgon

Je récite une ou deux sourates, j’arrête Bourbon

Et la rue m’a bercé j’ai jamais voulu percer mais j’ai fini dans le son

Ça n’avait rien d’un tiercé, j’ai bossé j’ai forcé, ils m’ont filé la rançon

(fight, fight)

T’rappelles pas? T’rappelles pas de nous (te rappelles pas de nous, hein ?)

On t’a botté le cul, tu chantais comme Dadju

J’ai activé le Kaioken, ils sont tous en mode senzu

J’ai fait un peu de ous-s de temps en temps je suis en hass, R.I.P Kenzo

Dis gang-gang-gang-gang, bla bla bla bla, ouin ouin ouin ouin

Ça sonn comme ça dans mes oreills khey quand j’entends ton rap de tchoin

Certains de mes amis n’ont pas de Visa, quelques ennemis n’ont plus de visage

Dans la massa je mets d’l’harissa, ça pousse plus, pas d’huile de ricin

Laister, ils ont trente ans jouent les gangsters

Qui sont-ils vraiment c’est un mystère, fuck le, je suis rancunier comme

Lannister

T’es toujours dans le bendo

Tu te prends la tête à répéter ton taekwondo

On est vicelards du coup t’en prends une dans le dos

Piou piou, tu sauras pas qui t’a F, John Doe

Ça va trop vite pour toi ma gueu-eu-eule

Tu parlais derrière quand tu me vois, euh euh euh

Trop de pétasses dans ce mouv' indépendant

J’arrive d’en dessous, je pédale

J’ai faim j’ai faim j’ai des dents de scie, je pénave

Demain je suis là devant ta té-ci, dégage

T’as pas connu le fond du travou

T’as graille tout seul et tu veux qu’on te dise bravo

Ah lala, ça va pas, c’est tous des clowns à la Zavata

Je fais toujours du wari comme Dawala

Je suis dans la cuisine dans la caravane

Qui veut décéder, qui veut du crack

Je débite à la Walter white, yeah

Je dégaine avant la in-f, John Wayne

Je tombe jamais en rade gava j’ai un pipeline connecté à ma tempe

On a délaissé les drive-by

Mais on est toujours opérationnels si il faut reprendre

Fuck that on est déjà dans le bain, les mecs viennent me demander si il faut se

rendre

Je rappe sale depuis trop longtemps je les fais bugguer, je suis convaincu

qu’un jour ou l’autre ils vont me pendre

Ga-ga-gang, wa-wa-wa